J+1 en route vers le Yos

Publié le par Christof

Reveil à 6h30 AM, gros petit dej Californien, juste pour voir.  Tortilla, bacon, et je ne sais plus quoi, café trés clair à volonté, on se rempli, on ne sait jamais.
Nous quittons l'hotel, les sacs restent dans la chambre, nous les reprendrons avant midi. La nuit a effacé toutes traces de fatigues, nous partons visiter SF by car: ses rue en pentes, son Golden Gate le quartier Haight -Ashbury en quête de la maison de Janis Joplin. Nous tombons sur celle de Jimi Hendrix (il y fit un court séjours en 67).
Je baigne dans le Summer of love ( c'etait sur Arté cet été). 40 ans trop tard!
Ici vécu( pas longtemps) Jimi Hendrix.
REI va ouvrir! direction Brannan street, vers South Park. En plus c'est prés de la 80 et 280, ça sera facile de retourner à l'hotel.
Quelques centaines de $ en échange de quelques gears et d'une carte de membre à vie en poche, nous retournons récuperer les sacs et payer l'hotel.
Je  me suis complètement planté dans le chronologie des évenements. En fait, aprés le ptit dej, on s'est garé devant REI, attendant l'ouverture en se balladant à pieds dans le quartier, puis retours à l'hotel et visite de SF avec les bagages en attendant l'arrivée du Haulbag. 
Vers 15h, nous récupérons enfin le Haulbag plein de saucisses et de fromages, et nous filons enfin vers le Yosemite.
 
Le Golden gate, vous vous en seriez douté!
C'est à peu prés à trois heures d'ici. On y arrivera 7h plus tard, aprés un arrêt et quelques courses dans un supermarket au moment ou l'on en eu marre d'être perdu.

Nous sommes arrivés dans la nuit aux abords du Yosémite National Park, et passé la nuit au milieu d'une forêt d'immenses coniféres. Nous nous étions quand même arrétés un peu plus tôt dans une bourgarde, prendre une biére dans un bar à l'ambiance Twin peaks, cernés de gens un peu inquiétant, dévorants des popcorns devant 4 ou cinqs grands écrans de TV déversant toujours les désormais omniprésentes diffusions de leur sport national.
Un type nous offrit des popcorns. Il arborait sur son blouson le "We support our troops" que je retrouverai tout au long du séjours sur quelques voitures et vitrines de magasins. Sur son biceps un tatouage de la Navy, nous encouragea à accepter les popcorns à avaler notre Budweiser et à regagner notre voiture, croisant sur le palier du bar un videur obèse à l'air patibulaire, écoutant deux autres types agités discuter de leur avenir dans la région "You know, I have a gun, you have a gun to. So what!...."
Allez Eric, on s'casse.
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